Une soumise humiliée prend son pied

J'ai toujours aimé le sexe, et depuis l'avènement des sites de rencontre, je m'en donne à cœur joie! Vingt-cinq ans, brune,bien foutue et pas farouche, les rendez-vous ne sont pas compliqués à avoir.

Ce soir là, j'ai prévu de rencontrer un homme d'une quarantaine d'années, qui ne cesse de m'émoustiller avec ses messages plus que pornos. Il me parle de m'attacher, de cordes, de godes ... J'aime quand c'est v i o l ent, et il le sait.

Il m'a donné quelques consignes avant que je ne le rejoigne chez lui. Une mini-jupe, pas de culotte et la chatte parfaitement lisse. En plus d'être lisse, elle sera mouillée. Me voir dans cette tenue, savoir que je vais me faire baiser comme la dernière des chiennes m'excite horriblement. Ma chatte s'ouvre et mes tétons pointent à travers mon fin chemisier.

Je m'engouffre dans le métro, excitée mais anxieuse ... Les hommes me scrutent, j'ai l'impression qu'ils savent la salope que je suis.

Arrivée devant chez lui, j'hésite à sonner. Et si je faisais une erreur ?

Je n'écoute que mon instinct de jeune cochonne et je laisse mon doigt appuyer sur la sonnette.

Quelques secondes s'écoulent et enfin, il ouvre. Grand, charismatique, le regard perçant.

Il m’entraîne à l’intérieur et m'ordonne de me mettre à quatre pattes, le jeu va commencer.

J’obéis, tremblante. Le cul en l'air, offert, il remonte ma jupe et laisse glisser ses doigts sur ma fente trempée.

"Ta chatte est bien grosse, petite salope, et humide espèce de truie"

Sa main puissante s'abat sur mes fesses. Il me fesse fortement, venant parfois glisser ses doigts entre mes lèvres dégoulinantes. J'aime cette douleur, cette douleur réservé aux soumises dociles. Ses mots crus m'excitent encore plus, mes fesses se trémoussent sous ses yeux et sous ses mains expertes en punitions.

Il me fait alors installer sur une table et entreprend de me ligoter à l'aide de cordes. Mes bras d'abord, relevés au dessus de la tête, faisant ressortir mes seins et mes tétons bandés d'excitation. Puis les jambes, ouvertes, écartées de part et d'autres de la table.

Muni d'un martinet en cuir, il caresse ma chatte et mes seins, je sais qu'il me prépare aux coups que je vais recevoir...Et voici le premier, cinglant mais douloureusement délicieux. Les autres coups suivent, échauffant tout mon corps tendu. Ma chatte l'attire me dit-il, et il se met à la fouetter, je sens les lanières de cuir glisser entre mes lèvres, sur mon clito déjà tout dur.

Il me pénètre alors brusquement de deux de ses doigts, les faisant aller et venir en moi, me traitant de traînée à souiller. Trois doigts désormais, qui me baisent sans retenue. Je coule littéralement sur sa main et le quatrième entre aisément ... Il me pilonne un bon moment de la sorte avant de me fister lentement au début, puis plus v i o l emment. Je peux le dire, il me démonte et j'aime ça. Je me sens pleine, traitée comme je mérite d'être traitée.

Je jouis bruyamment alors qu'il me crache sur la chatte, son poing enfoncé en moi.

Il s'éloigne, cinq minutes de répit, mais je suis toujours aussi mouillée, mon clito me démange, j'en veux encore. Je le vois arriver, un énorme gode à la main et son sourire sadique plaqué sur les lèvres.

"Tu n'auras pas ma queue aujourd'hui. Je vais baiser avec ce vulgaire bout de plastique, tu ne mérites que ça pour le moment."

Il s'approche, m'ordonne d'ouvrir la bouche et me crache sur la langue avant d'y enfoncer ce gode surdimensionné. J'ai des hauts le cœur et me bave partout sur les seins, bave qu'il étale vicieusement sur mes tétons qui sont de plus en plus durs.

Je suis sale. Une sale chienne. Et putain ce que c'est bon.

Ma chatte, encore béante du fist précédent, accueille goulûment ce membre artificiel que mon désormais Maître frotte à mon clito avide de plaisir. Je le sens me pénétrer centimètre par centimètre et mon corps, bien qu'entravé par les cordes, se cambre un peu plus chaque seconde. Il me baise désormais sauvagement, il pince mon clito en me remplissant la chatte et n'hésite pas à cracher de longs filets de bave entre mes cuisses, giflant mes seins et mon visage pour me remettre à ma place de soumise. Je le supplie de me faire jouir, lui hurlant de me salir autant qu'il le veut, je n'ai plus aucune limite, je veux juste être un objet, l'humiliation me rend folle.Le gode m’écartèle de plus en plus, je sens que je vais jouir et n'hésite pas le manifester. Je vois alors une lueur perverse s'allumer dans ses yeux et, tout en continuant à me goder, il sors sa queue énorme de son jean, l'approche de ma chatte et crache une fois de plus dessus.

"Tu veux être salie ? Tu vas l'être, et tu vas jouir d'être ainsi traitée. Une fois que ce sera fait, tu te rhabilleras et repartiras, sans dire un mot. Je te recontacterai."

Je comprends vite ce qu'il va faire...Les jets de pisse commencent à couler et à venir mouiller encore plus, si c'est possible, ma chatte empalée sur le gode. Il pisse sur moi le salaud ... Mais la pression sur mon clito est divine et je suis enfin la truie que je dois être. Le plaisir est indicible, je jouis en éjaculant et me laisse ensuite aller à pisser, moi aussi, le gode encore à l'intérieur de moi.

Je me rhabille rapidement, encore trempée de ces jeux pervers, et repart, espérant avoir de ses nouvelles rapidement...